Pélagie Le Breton de Maisonneuve

(1789 – 1874 ) – Fondatrice .

A l’origine une femme passionnée de la recherche de Dieu en toutes choses : Pélagie le Breton de Maisonneuve qui deviendra Mère Saint Félix

À l’origine une femme passionnée de la recherche de Dieu en toutes choses :

Pélagie le Breton de Maisonneuve qui deviendra Mère Saint Félix

Pélagie est née à Quintin (22) le 2 février 1789. Son père était clerc de notaire à Saint - Méen - le - Grand. Son frère Félix naît le 6 novembre 1790, mais cette naissance est suivie deux mois plus tard de la mort de leur mère, Madame le Breton, Pélagie Rigon.

L’éducation de Pélagie fut confiée à sa tante, Marie Anne Rigon, Fille de la charité, qui attachée à l’hôpital de Montpellier et chassée de cet établissement par les révolutionnaires, est revenue en Bretagne à Saint Brieuc en 1798. En 1808, les temps étant meilleurs, Marie Anne Rigon, vient à Saint Méen -le - Grand dans l’hospice fondé par saint Vincent de Paul lui-même. Pélagie, sa nièce, prit pension à St Méen, chez Mme Bayon, la veuve de son parrain.

Là, Pélagie est une précieuse auxiliaire du clergé dans le service des indigents et la responsabilité de l’Association des « Enfants de Marie ».

La date du 2 octobre 1831 est considérée comme le point de départ de la Congrégation. C’est en effet, à cette date, partageant le souci apostolique du Père Corvaisier, curé de Saint Méen, que Pélagie ouvre une école pour les filles des classes moyennes et aisées alors dépourvues d’un établissement pour les recevoir. Les filles pauvres ou orphelines sont prises en charge par les filles de la Charité.

Pélagie jeune fille

« Je me fais religieuse et c’est ce qui consomme mon bonheur », écrivait Pélagie le Breton à son frère, le 7 février 1832, à l’heure où elle croyait pouvoir réaliser un désir mûri longuement dans son esprit

« Livrée à la charité dans un don libre et sans calcul : telle nous apparaît Mère Saint Félix à travers sa vie et son action »

Cf. Règle de vie : la grâce de nos origines.

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